samedi 2 juin 2012

« Mittal laisse pourrir la situation ! »

L’information tant redoutée a été confirmée hier, lors du comité central d’entreprise au siège d’ArcelorMittal à Saint-Denis (93). Etamage 2 et filière liquide restent à l’arrêt jusqu’à la fin de l’année. Une catastrophe.

Une toute petite échauffourée avec les forces de l’ordre devant les grilles du siège ArcelorMittal, mais surtout des commentaires désabusés de métallos qui ont le sentiment d’assister au début de la fin de Florange, le fleuron de la sidérurgie française.
La direction n’a accordé aucune interview à la presse. Seul un communiqué a été diffusé. Quelques lignes qui claquent comme les pétards à air comprimé qui ont explosé les oreilles de ceux qui attendaient aux grilles du siège social ArcelorMittal France, hier, à Saint-Denis. Résumé du propos : prolongation de la suspension temporaire d’une partie des installations de Florange au second semestre 2012, pour cause de mauvaise conjoncture… Circulez, il n’y aura bientôt plus rien à voir, à Florange.
Casqués, masqués, armés de banderoles, mégaphones et de ces fameux explosifs qui leur ont permis de faire du bruit pour dix fois leur nombre, ils n’étaient pas bien nombreux, les militants, à avoir fait le déplacement depuis Florange. Plus de trois mois de conflit, « sans le semblant d’une bonne nouvelle » ont de quoi épuiser les plus vindicatifs. Pourtant, la soixantaine de courageux, dans le bus dès 5h, était bien là, prompte à multiplier déclarations devant la presse au grand complet. « Mittal nous traite par le mépris ? On le fait savoir. » Et toujours ces slogans entonnés par des métallos à l’unisson : « Tous ensemble, Tous ensemble. On ne lâche rien. »
Ils ne lâchent rien, mais qu’ils semblent démunis devant un Mittal à la force d’acier et à la volonté de rouleau compresseur !
Hier, point de flagornerie. Tout au plus une petite poussée sur les grilles du siège, qui a obligé les CRS à venir remettre un peu d’ordre. Pour le reste, l’atmosphère était noire et les gorges nouées. « C’est grave ce qui se passe. La direction condamne à mort le site de Florange. On ne reste pas plus d’un an au chômage partiel. Les jeunes vont partir », alerte Yves Fabbri (CGT).

Toute la sidérurgie française touchée

« Mittal laisse pourrir la situation… Après, on nous dira qu’on n’a plus les compétences, qu’il faudrait trop d’investissements pour redémarrer… », s’alarme Fred Weber (CFDT).
Pire. Avec la filière liquide à l’arrêt, l’aval – ses trains à chaud et à froid – risque le déséquilibre. « C’est l’usine intégrée qui fait la force de Florange, rappelle Jean Mangin (CGT). On va au-devant de problèmes de coûts, d’intégration, de risque d‘une cokerie condamnée. 20 M€ doivent être investis sur le train à chaud pour voir l’Usibor passer en grande largeur. Si ça n’est pas fait, tout est remis en cause. »
Jean-Marc Veckring, délégué CCE (CFDT), apparaît plus sombre que jamais. « Les chiffres qu’ils produisent sont catastrophiques. On ne comprend pas leurs analyses, mais ils ne répondent pas à nos questions. Le marché n’est pas tel qu’ils nous le décrivent… Quels moyens avons-nous pour le vérifier ? Avec ce qu’ils nous montrent, c’est une catastrophe pour toute la France sidérurgique. Pas seulement Florange. Ils n’assurent pas le redémarrage du haut fourneau de Dunkerque, après sa maintenance d’été ; les galva. de Montataire (Oise) et Mardyck (Nord) sont menacés. Ils nous brossent un tableau de plus en plus noir et Mittal, lui, est tranquille avec le chômage partiel payé et les tonnes carbone qu’il récupère. Ça ne peut plus continuer comme ça. »

vendredi 1 juin 2012

A Florange, ArcelorMittal enchaîne les « fermetures temporaires à durée indéterminée »

A l'issue d'un comité central d'entreprise, les syndicats ont indiqué que la fermeture des hauts fourneaux du site lorrain était prolongée six mois de plus. François Hollande et Arnaud Montebourg reçoivent lundi une intersyndicale.
Six mois de plus. Les deux hauts fourneaux de Florange (Moselle) du leader mondial de l'acier ArcelorMittal resteront arrêtés six mois de plus, selon les syndicats à l'issue d'un comité central d'entreprise. Le premier haut fourneau (P3) de Florange est arrêté depuis un an et le deuxième (P6) depuis l'automne. La direction, qui confirmé son projet de prolongation de la suspension temporaire d'une partie des installations de Florange pour le second semestre 2012", conditionne leur réouverture par une reprise économique en Europe, un marché sur lequel il n'y a pas de signe d'amélioration », tandis que « le quatrième trimestre est traditionnellement un trimestre plus faible ».
François Hollande était allé à Florange le 24 février
La stratégie reste de se concentrer en Europe sur un nombre limité de sites. « Une logique purement financière selon la CFDT », pour qui « on achemine Florange vers une fermeture temporaire à durée indéterminée menaçant l'avenir du site ».
François Hollande et le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg recevra lundi une intersyndicale. Le 24 février dernier, pendant la campagne électorale, François Hollande s'était rendu à Florange. Il avait, comme les syndicats, dénoncé lui aussi la logique financière de Mittal. « Florange produit le meilleur acier d'Europe. Si Mittal ne veut plus du site, c'est qu'il est animé par un intérêt financier alors qu'il s'est présenté comme un industriel », avait affirmé François Hollande, avant de s'engager en tant que député à déposer dès lundi un projet de loi obligeant les grandes firmes à céder des usines qu'elles s'apprêteraient à fermer. "Quel que soit mon avenir, comme président de la République soit comme député, je reprendrai ce texte", avait-il promis.
Les salariés craignent un arrêt définitif de Florange. L'ancien ministre de l'Industrie Eric Besson avait assuré qu'ArcelorMittal s'était engagé à ne pas délocaliser l'activité du site.

jeudi 31 mai 2012

SIEMENS: CONTRAT AVEC APERAM EN BELGIQUE.

(CercleFinance.com) - Siemens a remporté auprès de l'“aciériste inox” Aperam un contrat portant sur le remplacement des équipements de transmission du laminoir finisseur de Châtelet, en Belgique. 

Aperam entend ainsi moderniser ses installations afin d'en améliorer la productivité et d'en abaisser le coût de fonctionnement. Les équipements en question seront modernisés durant les périodes de maintenance de l'usine belge qui s'étaleront de mi-2013 jusqu'en 2019. 

Le préjudice d'anxiété reconnu pour cinq ex-salariés

AMIANTE
Trois ex-salariés d'Ascométal à Leffrinckoucke et deux d'Usinor (ArcelorMittal), à Dunkerque, ont obtenu gain de cause, hier, devant le conseil des prud'hommes de Dunkerque. Ils avaient attaqué en justice leur ancien employeur pour « préjudice d'anxiété ».

BFMTV 2012 : le face à face


BFMTV 2012 : le face à face par BFMTV

mercredi 30 mai 2012

Siemens AG

Rio de Janeiro, Brésil, 2012-mai-23Siemens envisage d'étendre sa présence dans l'important marché de croissance du Brésil - fixer le cap pour le développement durable à long terme la croissance dans le pays. La société a l'intention d'investir jusqu'à 1 milliard $ au cours des cinq prochaines années dans le but de renforcer et d'étendre ses activités au BrésilD'investissement s'étalera sur l'ensemble du portefeuille Siemens - comprenant l'énergie, l'industrie, de l'Infrastructure et des villes, et les secteurs de la santé - avec un accent particulier sur la localisation de la production et des services ainsi que la conduite de la recherche et le développement. Il comprend également le capital nécessaire à l'expansion des entreprises. "Nous avons été faire des affaires au Brésil depuis plus de 100 ans, et nous n'avons jamais été plus confiant quant à son avenir. C'est pourquoi nous investissons ici», a souligné Peter Y. Solmssen, membre du Managing Board de Siemens AG .Siemens a l'intention de doubler son chiffre d'affaires au Brésil d'ici 2017. «Notre portefeuille est axé sur les besoins du pays, et nous investissons en permanence dans le but de renforcer nos capacités», a déclaré Paulo Stark, PDG de Siemens au Brésil.Siemens Brésil a investi environ 700 millions de dollars des dépenses en immobilisations et de la recherche et le développement dans le pays au cours des dix dernières années, l'ouverture de huit nouvelles usines et de générer 4.000 nouveaux emplois. Dans l'exercice 2011, Siemens avait environ 10.000 employés et un revenu d'environ $ 2,8 milliards au Brésil.L'un des plus dynamiques du monde des grandes économies, le Brésil est en passe de devenir une puissance économique mondiale. «Comme son économie devient plus complexe, le Brésil, il faudra une gamme plus variée de produits. C'est pourquoi nous prévoyons d'étendre nos activités dans des domaines qui seront vitales pour la croissance durable de l'économie brésilienne," fait remarquer Solmssen.Une grande partie de l'investissement projeté se concentrera sur les marchés énergétiques orientés vers l'avenir. Cette année, par exemple, Siemens va ouvrir une nouveau centre de recherche de développement à Rio de Janeiro, qui est axée sur le secteur pétrolier et gazier. La société a l'intention d'embaucher au moins 200 chercheurs et ingénieurs hautement qualifiés de travailler sur des solutions qui améliorent l'efficacité et la fiabilité dans l'huile et la chaîne de valeur du gaz.Siemens investira initialement 60 millions de dollars pour construire son usine flambant neuve au Brésil. L'usine produira des moteurs haute et basse tension et des générateurs pour le marché intérieur et aussi pour l'exportation. L'initiative s'inscrit dans la stratégie de l'entreprise pour les produits énergétiques et des solutions efficaces. L'usine de production devrait être inauguré en 2014 et lorsqu'il sera pleinement opérationnel, il est prévu pour générer près de 300 emplois directs.Siemens est également l'expansion de ses capacités sur le marché prospective smart grid. En Avril, la société a ouvert son premier centre R & D axée sur le développement de solutions de réseaux intelligents à Curitiba. Siemens est en train d'acquérir une société brésilienne grille intelligente, un des principaux fournisseurs de compteurs intelligents et des services connexes, cette société spécialisée offre des logiciels et services conçus pour prévenir les pertes non techniques (NTL) de la puissance lors de la distribution.Siemens va également investir 30 millions de dollars pour développer son activité dans le secteur des soins de santé au Brésil. Soulignant l'engagement ferme du secteur au Brésil, cet investissement permettra à la fabrication d'imagerie locale et chaîne d'approvisionnement pour être mis en place à Joinville (dans l'état de Santa Catarina) - dans le but de mieux servir les besoins du marché local.Siemens a joué un rôle actif au Brésil depuis 1867. Tout au long du siècle passé, la société a joué un rôle clé dans la construction et la modernisation des infrastructures du pays. En conséquence, Siemens équipements et de systèmes génèrent actuellement 50 pour cent de l'électricité du pays, de fournir 30 pour cent de toute l'imagerie numérique et de diagnostic peuvent être trouvés dans plus de 65 pour cent de tous les projets de forage de pétrole en oeuvre au cours des dix dernières années. Cette position solide a permis à l'entreprise d'atteindre une croissance durable et d'élargir son volume d'affaires au cours des cinq dernières années.Siemens AG (Berlin et Munich) est une puissance mondiale dans l'électronique et du génie électrique, opère dans les domaines de l'industrie, l'énergie et des soins de santé ainsi que la fourniture de solutions d'infrastructure, principalement pour les villes et les régions métropolitaines. Pour plus de 160 ans, Siemens est synonyme d'excellence technologique, l'innovation, la qualité, la fiabilité et d'internationalité. La société est le premier fournisseur mondial de technologies environnementales. Environ 40 pour cent de son chiffre d'affaires total provient de produits et solutions écologiques. Dans l'exercice 2011, qui s'est terminée le Septembre 30, 2011, les recettes provenant des activités poursuivies a totalisé € 73,5 milliards et le revenu tiré des activités poursuivies 7,0 milliards d'euros. À la fin de Septembre 2011, Siemens avait environ 360.000 employés à travers le monde sur la base des activités poursuivies. Des informations complémentaires sont disponibles sur Internet à l'adresse: http://www.siemens.com.
Ce document contient des énoncés relatifs à nos activités futures et les résultats financiers et les événements ou développements futurs impliquant Siemens qui peuvent constituer des énoncés prospectifs. Ces déclarations peuvent être identifiées par des mots tels que «s'attend à», «attend avec impatience», «anticiper», «entend», «planifier», «croit», «cherche», «estimer», «sera», «projeter» ou des mots ayant un sens similaire. Nous pouvons également faire des déclarations prospectives dans d'autres rapports, des présentations, dans le matériel livré aux actionnaires et dans les communiqués de presse. En outre, nos représentants peuvent de temps à autre faire des oraux énoncés prospectifs. Ces déclarations sont fondées sur les attentes et hypothèses actuelles de la gestion de certains de Siemens, et sont, par conséquent, assujettis à certains risques et incertitudes. Une variété de facteurs, dont bon nombre sont au-delà de Siemens de contrôle, affectent Siemens opérations, la stratégie commerciale de performance, et les résultats et pourraient faire en sorte que les résultats réels, performances ou réalisations de Siemens soient matériellement différents des résultats futurs, des performances ou des réalisations peuvent être exprimés ou suggérés par ces énoncés prospectifs ou prévus sur la base des tendances historiques. Ces facteurs comprennent notamment, mais ne sont pas limités à, les questions décrites à l'article 3: Les facteurs de risque de notre rapport annuel le plus récent sur formulaire 20-F déposé auprès de la SEC, dans le chapitre «Risques» de notre rapport annuel le plus récent préparé en conformité avec le Code de commerce allemand, et dans le chapitre "Rapport sur les risques et opportunités" de notre rapport intérimaire le plus récent.
De plus amples informations sur les risques et incertitudes qui affectent Siemens est inclus dans nos plus récents rapports annuels et intermédiaires ainsi que notre version la plus récente gains, qui sont disponibles sur le site Web de Siemens, www.siemens.com, et tout au long de notre rapport annuel le plus récent sur Form 20-F et dans nos autres dépôts auprès de la SEC, qui sont disponibles sur le site Web de Siemens, www.siemens.com et sur le site Web de la SEC, www.sec.gov. Si un ou plusieurs de ces risques ou incertitudes devaient se concrétiser, ou si les hypothèses sous-jacentes s'avéraient incorrectes, les résultats réels, performances ou réalisations de Siemens peuvent varier matériellement de ceux décrits dans le pertinents énoncés prospectifs comme étant attendu, attendu, prévu, planifié, croit , a demandé, projetés ou estimés.Siemens a l'intention ni, ni n'assume aucune obligation d'actualiser ou de réviser ces énoncés prospectifs à la lumière des développements qui diffèrent de ceux anticipés.

mardi 29 mai 2012

Siemens va moderniser l'aciérie de Dunkerque !!!

Le groupe allemand Siemens vient de signer un nouveau contrat avec le géant de la métallurgie ArcelorMittal. En jeu : la modernisation de l'aciérie de Dunkerque (Nord). De quoi éclaircir un peu l'horizon de la filière en France…
Le redressement productif est en marche ! C'est du moins ce que l'on peut espérer concernant le site sidérurgique de Dunkerque (Nord). Le groupe allemand Siemens vient d'annoncer un contrat de modernisation du site passé avec le numéro un mondial de l'acier ArcelorMittal. Le même type de contrat a été élaboré pour l'usine de Gent (Belgique).
Le montant exact de la transaction n'a pas été communiqué mais il s'élève à plusieurs dizaines de millions d'euros pour les deux sites. Une annonce importante pour l'activité en Europe, et faite à plusieurs milliers de kimomètres des lieux concernés. A Mexico plus exactement. Siemens a organisé dans la capitale mexicaine, du 21 au 23 mai, une série de conférences sur les solutions du groupe dédiées à l'industrie métallurgique.
En quoi consiste cette modernisation du site de Dunkerque ? Il s'agit de remplacer, au sein de l'usine de laminage à chaud du site dunkerquois, les systèmes d'entraînement existants fonctionnant en courant continu par des systèmes (moteurs, convertisseurs, transformateurs) plus efficaces et adaptés au courant alternatif. Pour rappel, le laminage consiste à faire pression sur les brames (gros blocs d'acier) à l'aide de cylindres pour obtenir des tôles.
UN CHALLENGE TECHNIQUE
Ce changement de matériel n'a rien d'anecdotique. "Il fournit un équipement plus puissant, plus flexible et qui offre la possibilité de produire une plus grande gamme de produits", explique un porte-parole du groupe. L'outil sera par exemple plus adapté à la stratégie qui consiste depuis quelques années à adapter en permanence le niveau de production à celui de la consommation. Il devrait également satisfaire davantage les clients du site, en particulier les constructeurs automobiles, friands d'une plus grande diversification de produits.
Dans le détail, cette modernisation va consister à remplacer les machines à courant continu sur un total de sept blocs de finition des tôles après laminage, autant d'étapes qui permettent d'obtenir pas à pas des tôles ultra rectilignes avec des dimensionnements très précis. Si la technologie n'est pas nouvelle, le challenge pour Siemens consiste à remplacer, pour chacun des blocs, trois anciens moteurs par un unique moteur alternatif à la fois plus puissant, mais dont les dimensions ne doivent pas excéder celle d'un seul de ces anciens moteurs.
Le remplacement des machines va s'effectuer de manière progressive, notamment durant les opérations annuelles de maintenance. Les premiers travaux de modernisation devraient débuter en décembre 2012 et se poursuivre jusqu'en 2016.
Cette annonce tombe à point nommé alors que le nouveau gouvernement affiche sa volonté de redresser l'industrie française. Mais il confirme également la stratégie d'ArcelorMittal, qui consiste à privilégier les sites côtiers et de grande taille, comme celui de Dunkerque, à ceux situés dans les terres et aux moindres capacités, comme celui de Florange (Moselle).
L'avenir de la sidérurgie européenne, qui souffre d'une faible demande et d'un manque de compétitivité par rapport à celle des pays émergents,  dépend-elle de ce type d'investissements ? Pour les dirigeants de Siemens cela ne fait aucun doute.
"Je peux vous affirmer que nous menons de nombreuses discussions avec ArcelorMittal, assure Michael Irnstorfer, ingénieur et spécialiste des solutions d'automatisation chez Siemens. Ce groupe s'intéresse beaucoup à la modernisation des usines en Europe. Et je ne vois pas pourquoi il investirait à Dunkerque s'il ne croyait pas dans l'avenir de ce site".
"Je ne connais pas la stratégie d'ArcelorMittal, explique avec davantage de prudence Andreas Flick, le directeur de la technologie chez Siemens VAI, une filiale du groupe. Mais il est évident que pour rester compétitives, les usines européennes, vieilles pour certaines, doivent être modernisées". Et le groupe Siemens compte bien faire valoir ses compétences en la matière pour se tailler une large part du business de la modernisation des usines dans les prochaines années.

Chérèque : "l'important, c'est l'efficacité"

"En France, les réformes échouent souvent sur des questions de méthode" a regretté le leader de la CFDT.
L'interview de Jean-Pierre Elkabbach 29/05/2012 - 08:20


Chérèque : "l'important, c'est l'efficacité" par Europe1fr