mercredi 5 septembre 2012

Gandrange: les deux ouvriers coincés sous une structure sont morts

Bonjour,

Je vous remercierai de bien vouloir respecter les CGU de LOR'Actu.fr

Vous venez de copier coller un article dans son intégralité, qui plus est sans en citer l'auteur, ce que vous faites pourtant pour le RL.

Vous ne pouvez que reprendre le chapeau d'un article en renvoyant systématiquement vers LOR'Actu.fr pour lire la suite dudit contenu.

Merci de votre compréhension.
Droit de réponse :

Bonjour M. Florian Bur

J'ai bien pris acte de votre commentaire ce jour et me suis empressé de lire vos CGU.

http://loractu.fr/page/conditionsgeneralesutilisation

J'avoue avoir pris un certain plaisir à les lire, mais je ne commenterai pas.

Je remarque, à la lecture de ces même CGU, que vous affichez beaucoup de droits.

Mais en tant que citoyen responsable, je me dois de respecter la loi et vos exigences.

Néanmoins, je tiens à vous faire remarquer que ce blog me donne qu'un seul droit :

- celui de défendre mon emploi ainsi que ceux qui m'incombent, étant dûment mandaté par un vote professionnel.

Loin de moi, la pensée et la volonté de "piquer", voire de "voler" une quelconque information dans vos pages.

J'ai la sale habitude de penser ou de croire que la presse est au "service" de ceux qui la lisent.

L'information devrait servir le peuple et une cause."

Dorénavant, je m’abstiendrai de vous lire et de vous citer.

Sans aucune animosité de ma part.

L’Acier Lorrain Vivra.

Mise-à-jour 18h27 : Les deux ouvriers sont décédés.



Selon un porte-parole des pompiers de Moselle, les deux ouvriers coincés sous une structure métallique sont morts. Toujours selon lui, les faits se sont déroulés sur le site d’Unimétal à Gandrange. Les deux ouvriers se trouvaient sur un bras élévateur pour démonter un entrepôt de 800 m2 environ.

Le toit du bâtiment s’est effondré et a fait chuter les deux hommes de leur nacelle, de plus de dix mètres selon nos informations. Un système a été mis en place par les pompiers pour sécuriser le site, très dangereux selon un pompier présent sur place. Des sapeurs-pompiers de Hagondange, Thionville et Metz étaient mobilisés pour l’intervention soit au total une quarantaine d’hommes et une dizaine d’engins.

L’intervention a débuté vers 15h45 et les deux corps récupérés vers 17h30 après une fouille des décombres. Trois chiens renifleurs étaient sur place mais n’ont pas été mis à profit.

Une enquête va être ouverte afin de déterminer les circonstances de cet accident du travail dramatique. 

A 18h - Deux ouvriers coincés sous une structure métallique 


Selon nos informations, une structure métallique s’est effondrée sur deux ouvriers qui intervenaient mercredi après-midi sur un chantier à l’usine de Mittal Steel à Mondelange-Richemont-Gandrange (Moselle).

Une quarantaine de pompiers sont sur place actuellement afin de tenter de sauver les deux ouvriers coincés sous les décombres. Par ailleurs, selon un pompier sur place, il était trop dangereux d’accéder aux victimes, car le danger est très grand.

Les deux ouvriers qui interviennent pour le compte d’une société de démolition sur le site d’ArcelorMittal. Ils démontaient la structure métallique qui s’est effondrée sur eux.

A 18h, le porte-parole des pompiers de Moselle était injoignable

http://www.loractu.fr/

Les Mittal haussent le ton pour rappeler qu’ils existent

Pas de grève, pas d’entrave à la production, encore moins de sabotage… Depuis plus de dix mois de conflit, les Mittal s’usent et se sentent abusés. Hier soir, pour rappeler l’enjeu du conflit, la CGT a haussé le ton.

les militants étaient là. Les fidèles. Ceux qu’il suffit d’appeler pour être sûr de les voir arriver. La CGT avait prévenu il y a quelques jours : « O n va hausser le ton, on va mener des actions coups de poing pour réveiller les consciences et dénoncer l’attitude de la direction ». Compliqué de réveiller les consciences entre chômage partiel, menaces de suppression de poste et lignes où – suprême paradoxe – certains sont invités à aligner les heures supplémentaires.
Hier soir, c’est au porte-monnaie de Mittal que la CGT a tenté – symboliquement – de s’attaquer. En envahissant le service énergie, les hommes ont basculé l’alimentation de gaz interne, en provenance de la cokerie, sur le réseau gaz naturel. « Pour nous, c’est une manière de montrer que la sécurité n’est plus assurée, dénonce Jean Mangin (CGT). La surveillance de l’aciérie a été stoppée ; les compétences de l’usine à chaud sont déplacées vers l’usine à froid. La direction ne respecte même plus ses engagements de base. On va demander une réunion de crise auprès du préfet. »
Au-delà, le syndicat se bouge pour les sous-traitants de l’entreprise Ondéo. Une quinzaine de salariés chargés du traitement de l’eau, de l’air comprimé, de la vapeur et des soufflantes sur les hauts fourneaux. Le contrat a été dénoncé et leurs fonctions prennent fin le 12 octobre. « Ce sont des salariés qui ont des compétences et de l’expérience. On va exiger qu’ils soient repris dans les effectifs ArcelorMittal. »
C’est effectivement le combat des intérimaires, des sous-traitants et co-traitants que la CGT veut porter haut. Des vies d’hommes et des emplois en jeu que le syndicat aimerait bien ne pas voir passer par pertes et profits.
Laurence SCHMITT.

www.republicain-lorrain.fr

mardi 4 septembre 2012

Un clip sur le Val de Fensch à l'initiative de l'Office de Tourisme du Val de Fensch

Un clip sur le Val de Fensch à l'initiative de l'Office de Tourisme du Val de Fensch pour faire découvrir cette vallée entre Metz et Luxembourg. Cette région marquée par l'industrie, n'en a pas moins conservé son caractère profondément rural. Vallée aux 1000 accents, vallée des anges, vallée des hommes de fer. Vous aussi, laissez-vous surprendre par cette terre de contrastes !